Coco
Lutinette #3 parle avec des termes génériques. Elle ne rajoute pas de mots dans son vocabulaire, mais ajoute une signification à son terme générique.
Prenons l'exemple de Coco.
A l'origine, il s'agissait du cheval à bascule. Puis, c'est devenu le vrai cheval, puis la vache, puis la queue de cheval, puis le mouton, puis l'élastique à cheveux, puis la barrette à cheveux, puis la chèvre, puis ...
Elle semble être infinie, élastique, cette désignation.
Alors que nous étions à table, Lutinette #3 voit la chèvre dessinée sur l'étiquette du fromage (chèvre-sucre-canelle d'un petit producteur régional, un délice) et s'exclame Coco. Pour dire qu'elle voulait du fromage de chèvre, encore une extension du mot "coco".
Lutinette #2, pour rigoler, commence à faire l'inventaire des mots regroupé sous Coco par sa petite soeur. Cheval, vache, chèvre, chevreuil ... . Et là, Lutinette #1, la coupe et s'exclame : "Ben oui, le chevreuil, c'est la chèvre des bois !"
Avec Zhom, on s'est regardé, et on a éclaté de rire. Même Lutinette #2 a vu que sa grande soeur se trompait.
Prenons l'exemple de Coco.
A l'origine, il s'agissait du cheval à bascule. Puis, c'est devenu le vrai cheval, puis la vache, puis la queue de cheval, puis le mouton, puis l'élastique à cheveux, puis la barrette à cheveux, puis la chèvre, puis ...
Elle semble être infinie, élastique, cette désignation.
Alors que nous étions à table, Lutinette #3 voit la chèvre dessinée sur l'étiquette du fromage (chèvre-sucre-canelle d'un petit producteur régional, un délice) et s'exclame Coco. Pour dire qu'elle voulait du fromage de chèvre, encore une extension du mot "coco".
Lutinette #2, pour rigoler, commence à faire l'inventaire des mots regroupé sous Coco par sa petite soeur. Cheval, vache, chèvre, chevreuil ... . Et là, Lutinette #1, la coupe et s'exclame : "Ben oui, le chevreuil, c'est la chèvre des bois !"
Avec Zhom, on s'est regardé, et on a éclaté de rire. Même Lutinette #2 a vu que sa grande soeur se trompait.